Par Orazio TORINO
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Autodidacte et passionné de lecture, j’ai laissé de côté la peinture à l’huile, ma seconde passion, afin de reprendre un manuscrit que j’avais commencé, il y a plus de 35 ans. Après des évènements tragiques et heureux dont je me suis inspiré, je me devais d’aller au bout de ce projet qui me tenait à cœur. Le temps qui passe nous renforce, nous enrichit et nous grandit.
Je vous propose d'être acteur de la naissance de mon livre en m'aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
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Fils d’immigrés italiens, je suis né en Lorraine en 1958. J’ai toujours été passionné par les mots de la langue française, ce qui m’a poussé à m’intéresser à plusieurs auteurs aux styles différents tels que Maurice Leblanc, Maupassant, Zola, Dostoïevski et particulièrement Soljenitsyne.
En écrivant ce roman, j’ai voulu plonger le lecteur dans l’histoire d’un vétérinaire à la retraite, Maximilien Prigent, rattrapé par les souvenirs d’un passé chargé et marqué par un secret qu’il n’a jamais révélé. À travers son parcours, plusieurs thèmes sont abordés : la mort sous toutes ses formes, la mémoire, les liens affectifs et les lourds silences. Les personnages secondaires, par leurs trajectoires et leurs choix, font émerger d’autres thématiques telles que l’amour, le sacrifice et la fidélité.
L’originalité du roman réside dans son alternance entre scènes du présent et retours en arrière, créant une dynamique qui guide progressivement le lecteur vers la révélation de ce qui a bouleversé la vie du personnage principal. Maximilien, dans sa complexité et sa retenue, donne toute sa profondeur au récit. Sa relation avec le comte Philippe de Saint-André insuffle une tension discrète mais persistante, interrogeant sur ce qui peut être dit – ou non – selon les époques. Cet attachement sincère, peut-être plus encore, est traité avec délicatesse.
Ce roman s’adresse à tous ceux qui portent en eux de belles valeurs morales et qui veulent combattre le Mal. Chaque lecteur pourra se reconnaître, en partie, dans Maximilien Prigent, Philippe de Saint-André, Betty Taylor, Marie ou Mathilde. Peu importe l’âge, tant que l’on sait distinguer le Bien du Mal.
Son inspiration puise dans la vie de chaque lecteur, et son aspiration est universelle : celle de voir le Bien triompher du Mal.
Partout ailleurs, dans l’univers, le temps avance à grands coups d’ailes largement déployées. Mais ici, dans cette partie de la France, à l’ombre des Cévennes, il s’écoule avec lenteur, comme clopinant sur des pieds meurtris, tout au long de sentiers caillouteux et poussiéreux.
Parfois, le temps se laisse distraire par des souvenirs en écoutant le chant des cigales ou le murmure d’un ruisseau, puis il reprend sa longue marche, tout en bravant les violentes bourrasques du Mistral et les ardeurs du soleil du Midi.Mailières. Octobre 2011.
Formée de cyprès hauts et pansus, une ceinture vert émeraude se déroule autour d’une maison dont l’immense toit d’ardoises bleues laisse deviner tout le luxe que cette propriété renferme.
Engoncé dans cette barrière de verdure, véritable forteresse des temps modernes, un portail haut de deux mètres hérisse ses piques acérées contre tous les importuns qui viendraient troubler le calme régnant. Sur un de ses battants, une plaque métallique, à peine maculée de rouille, dévoile l’identité du propriétaire des lieux : Docteur Maximilien PRIGENT - Vétérinaire.
Ultime trace d’un passé lointain.
Un silence pénétrant s’est installé dans cet endroit aseptisé depuis que le docteur Prigent n’exerce plus. Après son unique repas du jour que lui a préparé Mathilde, sa gouvernante, Maximilien a pour habitude de se recueillir dans le salon où il aime tant se reposer.
Là, coincée entre deux bibliothèques, l’une surchargée de livres reliés de tous genres, rangés avec minutie, l’autre vitrée et bien plus petite, emplie de divers sujets décoratifs, d’assiettes et de santons - tous ces objets hétéroclites étant façonnés en faïence de Quimper - une horloge d’un bois ancien s’anime, imperturbable, et ses coups de balancier semblent repousser les assauts de la mort qui rôde partout, rythmant le cœur du vieil homme comme s’ils voulaient le garder en vie encore un peu.
De puissants et agressifs effluves d’éther et d’ammoniaque s’échappant du sous-sol où se trouve le laboratoire maintenant laissé à l’abandon viennent se mêler à des senteurs de lavande. Et, de la cuisine au salon, du corridor aux chambres, jusqu’aux moindres recoins, on retrouve cette étrange odeur dont les murs de chaque pièce sont imprégnés à jamais.
Maximilien se repose dans un fauteuil depuis bientôt une heure. Sombrant peu à peu dans une douce léthargie, le regard figé sur une photographie aux couleurs ternies, il donne l’impression de se détacher de ce monde que sa vieille carcasse noueuse et flétrie encombre depuis longtemps déjà. Lacérant sa peau ocreuse d’épaisses et profondes rides, les années ont donné à ce corps un aspect cadavéreux.
Au cours de l’une de ces périodes de réminiscence qui tourmentent sans cesse son esprit, un flot de souvenirs recouvre entièrement ses pensées puis se retire aussitôt, laissant s’échouer, pêle-mêle, quelques bribes de sa jeunesse.
Dans cette rétro vision fugitive où seuls les moments les plus intenses s’accrochent aux parois escarpées de sa mémoire, le docteur Prigent parvient, malgré tout, à reconstituer une étape douloureuse de sa vie que cette photo lui rappelle.
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