Par Olivier BASSINE
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Apocalypse-en-Caux part d’une obsession qui m'anime : celle de notre vulnérabilité réelle face à des actes de sabotage coordonnés sur nos infrastructures critiques. En m’appuyant sur des documents publics, des rapports d’incidents (ASN, EDF...), et des faits passés trop vite oubliés — comme l’intrusion réelle sur le site de Penly en 2003 par Greenpeace que j'ai vécue — j’ai construit un roman qui ne relève ni du thriller spectaculaire ni de la science-fiction, mais de l’hyper-réalisme.
Je vous propose d'être acteur et actrice de la naissance de mon livre en m'aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
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Olivier Bassine est ingénieur HSE, romancier et il fut journaliste et prof d'Histoire. Il a vécu 15 ans en Normandie, non loin du littoral qui sert de décor à son polar. Apocalypse-en-Caux est son cinquième roman.
La France s'apprête à vivre l'impensable. À la centrale nucléaire de Penly, en Normandie, une série d’incidents mineurs semble passer inaperçue. Mais un engrenage fatal se met en place. Sabotages discrets, manipulations internes, infiltrations invisibles : tout concourt à ce qu’un petit groupe d’individus déclenche un cataclysme sur le territoire français.
Alors que les lignes électriques sont visées par une attaque de drones et que les systèmes de secours sont méthodiquement neutralisés, seuls deux hommes mesurent l’ampleur de la menace : un journaliste local et un commissaire de police.
Par cet opus qui s’adresse à ceux qui considèrent que l’énergie nucléaire n’est pas la panacée de' notre autonomie énergétique, j’ai voulu donner chair à la complexité des enjeux : car si ne nous pouvons immédiatement nous en passer, le danger subsiste et les dangers resntent la porosité des systèmes de sûreté, les angles morts du renseignement, la routine qui endort les esprits.
Ce roman est aussi une réponse littéraire à une angoisse contemporaine : et si notre apocalypse n’était pas un feu d’artifice hollywoodien, mais une série de décisions banales, de signaux ignorés, de portes entrouvertes au mauvais moment ?
Dans la salle de commande, les voyants clignotèrent puis s’éteignirent. L’alimentation principale venait de céder.
Les écrans virèrent au noir. Le panneau de commande de la ligne de secours clignota à son tour durant deux petites secondes, puis il s’éteignit à son tour. Plus rien.
Silence. Juste un vrombissement lointain de moteurs à l’arrêt.
Le cœur du réacteur, privé de tout contrôle, était désormais livré à lui-même.
24 novembre 2006 – 9h22 – Salle de supervision
Olivier Peeters vit s’allumer un voyant orange sur le panneau des auxiliaires. Un clignotement sur le réacteur numéro 1.
— Qu’est-ce que c’est que ça ? s’étonna-t-il.
Il décrocha son téléphone.
— Service maintenance ? Je vois une perte de débit sur le secondaire. Vous confirmez ?
La voix à l’autre bout hésita.
— Une perte ? Attendez, je vérifie…
24 novembre 2006 – 9h29 – Centrale de Penly – Bloc contrôle
Blackout. Les lumières se mettent à vaciller. Les écrans qui s’étaient brièvement éteints redémarrent. Les alarmes lancent leur hurlement.
Je vous invite à participer aux étapes de la naissance de mon livre dont l'objectif de préventes est de 990,00 €. Chaque prévente apportera sa pierre à la réalisation des maquettes, de la correction, de l’impression, de la promotion médias et de la diffusion en librairies. C’est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, auteures, lecteurs, lectrices, amoureux et amoureuses des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité en bénéficiant d'une équipe de professionnels.
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