Deadlystorm

Je m’appelle Maxime, j’ai 18 ans, et je viens d’écrire mon premier roman. Depuis bien longtemps, je lis de nombreux romans classiques et à suspense, comme Honoré de Balzac, Fiodor Dostoïevski, Stefan Zweig...

Deadlystorm est une saga familiale gothique qui plonge au cœur de l'histoire maudite de la famille Rufus et de leur demeure éponyme. Le roman explore les thèmes de la passion destructrice, de la folie et des secrets inavouables qui hantent les générations. Son originalité réside dans le genre que j’ai inventé : le "Tragérotisme", un mélange de tragédie et d'érotisme lyrique qui sublime les relations toxiques et les drames passionnels. Les lecteurs seront captivés par cette descente aux enfers psychologique, où l'amour et la mort sont intimement liés. Ce livre s'adresse à un public adulte, amateur de romans noirs et de tragédies familiales, dans la veine des œuvres d'Emily Brontë d'Edgar Allan Poe ou de Fiodor Dostoïevski. Participer à sa création, c'est donner vie à un univers sombre et envoûtant, où une demeure semble dévorer ses habitants, et explorer les recoins les plus sombres de l'âme humaine. L'aspiration du livre est de laisser une marque, en montrant comment la fatalité et les désirs inassouvis peuvent mener à une destruction inéluctable.

Extrait  

Elle était douce et fraîche. Et cette Lune brûlait sa suave chair. Les rideaux, tirés, montraient le doux vent de cette soirée. Elle était d’une chaleur fraîche, tellement, qu’elle avait enlevé le drap de son lit. Le drap de satin montrait un corps allongé, qui brillait d’une grande intensité. Je voulus la toucher, mais je ne pus le faire. Ses jambes étaient droites, fermes et dures, se déplaçant avec quiétude sur ce lit. Ses bras allongés n’étaient ni longs, ni petits, mais justes et tranquilles. Ils étaient collés à sa merveilleuse chair. Son ventre, ni menu ni épais, était parfait et sa poitrine bien mise. Elle montrait une respiration si douce et si magnifique. Son visage avait des traits si angéliques, que je vis qu’elle dormait. Sa longue chevelure, solaire, brulait dans l’ombre de la nuit. Elle éclairait et brûlait pour mieux renaitre ou pour mieux se consumer.

Sa fraîcheur et sa douceur consumaient mon âme. Comme elle était magique, mystique et mythique à la fois. Je l’aimais à la voir dans cette position, et pourtant, je ne pouvais l’atteindre. C’était comme si elle était loin de moi, comme si je ne la voyais pas. Pourtant, devant moi, elle était là, et elle dormait dans des songes si merveilleux, supposais-je. Oh, pourquoi ne pouvais-je l’atteindre ? Je l’aimais comme un fou.