En quête de sens, en quête de soi

Âgé de 40 ans, originaire de Bordeaux, j’ai construit mon parcours dans le secteur éducatif tout en nourrissant une passion pour l’écriture, le jardinage et la cuisine. Amoureux de la nature, je puise mon inspiration entre l’océan, les forêts et les grands espaces. Aujourd’hui, je vis dans un petit village du Gers, où je cultive un art de vivre simple, authentique et créatif.

Mon livre En quête de sens, en quête de soi est né d’un besoin profond de compréhension et d’introspection. J’y partage un cheminement à la fois personnel et universel : trouver sa place, donner du sens à sa vie, renouer avec l’essentiel.

L’ouvrage explore l’identité, la résilience et la reconnexion à soi. Il mêle réflexions intimes, récits de vie et regards sur notre rapport au temps, à la nature et aux autres. Son originalité tient à une écriture sincère, sensible, portée par une voix qui parle autant au cœur qu’à l’esprit. Il ne délivre pas de réponses toutes faites ; il propose des pistes, des inspirations, des respirations.

Soutenir ce projet, c’est encourager une démarche profondément humaine : partager une expérience qui peut résonner chez chacun et faire vivre un livre qui invite à réfléchir, ressentir et se reconnecter à soi. Il s’adresse à celles et ceux qui traversent une période de questionnement, de transition ou de recherche personnelle : adultes en quête de sens, lecteurs de développement personnel, amoureux des récits introspectifs et de nature.

Mes inspirations viennent de mes expériences de vie, de mon parcours dans le secteur éducatif, de mon lien à la nature et des autrices et auteurs qui m’ont marquée, comme Elizabeth Gilbert (Mange, prie, aime). Mon ambition est d’offrir un livre qui accompagne, apaise et inspire, en ouvrant un espace de dialogue entre le lecteur et lui-même.

Extrait : 

Peu avant la période de Noël, je me souviens être situé en face de la fenêtre de notre chambre à coucher au domicile de mes beaux parents. Je m’écroule et je craque. Je ne m’arrête plus de pleurer. Je crie. Je pense faire peur à toutes les personnes présentes au sein de la maison. Mais, à ce moment précis, j’oublie tout ceux qui sont autour de moi. 
Je constate que mes émotions commencent à sortir. Je les sens tellement enfouies depuis si longtemps. Rappelons le, je n’ai pas versé une seule larme depuis le décès de mon père soit quatre ans auparavant. Je pense aussi que d’autres souffrances plus profondes ont besoin de sortir pour me régénérer.
En me voyant dans cet état, ma tante décide de me prendre un rendez vous avec une infirmière magnétiseuse. 
Elle a une bonne réputation et selon ses dires, elle soigne la souffrance. J’accepte cette entrevue sans grande conviction d’ailleurs mais je n’ai rien à perdre tant je me sens si fragile. 
Je me revois rentrer dans cette salle de consultation au domicile de cette personne. J’observe la table de soin et une dizaine de poubelles placées les unes à coté des autres. 
Je m’interroge sur la présence de ces dernières ne connaissant que leur utilité première. Je reste sur la défensive et assez méfiant. Je sais qu’elle peut m’aider et j’en suis conscient. 
Elle me demande les raisons de ma venue. Je lui explique que je suis épuisé physiquement puisque je ne dors plus depuis des mois. 
Je lui donne les détails de mes souffrances physiques : douleurs somatiques au ventres, angoisses permanentes. Elle acquiesce puis me demande de m’allonger. 
Je l’observe réaliser son travail. Je reste dans cette position tout le long de la séance. Elle oriente ses mains vers moi puis fais le signe de « jeter dans la poubelle ». Et, elle répète la situation jusqu’à la dernière. Je trouve cette situation assez étrange mais je laisse faire. 
Elle me demande par la suite de me rasseoir et m’explique ce qu’elle vient de faire. Elle me dit qu’aujourd’hui est le jour de ma renaissance. Elle commence avec moi un travail d’accompagnement mais je dois le poursuivre avec une thérapie. Elle me remercie d’être venue la voir car selon elle j’aurai pu finir l’année avec une maladie grave. Je peux souffrir d’un mal bien plus profond que je ne le pense.