Par PSH MERCIER
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On m’a dit un jour qu’il fallait que je fasse quelque chose de la sensibilité particulière qui était la mienne. J’ai eu envie de la partager pour savoir si elle pouvait rencontrer un public ou si j’étais seule au monde ! Par ailleurs, l’art est une des rares possibilités de s’exprimer véritablement.
Je vous invite à devenir acteur de la naissance de mon livre et à m’aider à en faire un succès avec les Éditions Maïa. Plus les préventes seront nombreuses, plus le livre sera promu et diffusé.
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Avocate d’affaires durant quinze ans, je suis aujourd’hui juriste internationale. J’écris également dans le champ du droit, notamment pour une revue juridique.
Guidée par un goût prononcé pour l’esthétique, je puise mon inspiration partout : voyages, rencontres, couleurs, peinture, musique. L’écriture s’est imposée à moi lors d’une période difficile, avec le besoin de vérifier si mes mots trouvaient des échos—ou des résistances—chez d’autres.
Ma nouvelle retrace le parcours d’un ingénieur chimiste du Nord de la France, raconté par son enfant. S’y entremêlent la science et la vocation, l’hérédité et la maladie, l’attachement à une région et à l’Europe, la question climatique, ainsi qu’une méditation sur le décompte du temps.
Moteur examine alors les épaisses fumées qui se déversent dans le ciel et se mêlent au gris du ciel.
Les grasses et lourdes fumées sont d’un gris bien plus menaçant que ne l’est le gris léger du ciel du Nord.
Le mélange des gris ne semble pas prendre, comme deux matériaux non miscibles.
La Famille H contourne les réservoirs de stockage en forme de cylindre sur lesquelles Moteur observe des escaliers.
Il y a donc bien des êtres humains qui doivent vivre sur le site se dit Moteur avant de quitter son poste d’observation et de se rassoir bien droite sur son siège passager, la ceinture de sécurité bien attachée.
Moteur n’entend toutefois jamais âme qui vive, Moteur ne voit jamais âme qui vive.
Moteur observe toutes sortes d’échelles autour des cylindres ou cuves et il lui semble toutefois percevoir des chemins entre toutes ces machineries.
L’Usine a l’air de fonctionner de manière autonome sans intervention humaine.
Si l’Usine a attrait son père, Moteur s’en écarte sans en avoir une conscience véritable.
Moteur a effectivement l’impression d’échapper à quelque chose et d’être « portée » vers un ailleurs.
L’Usine la rattrapera sans doute.
D’ailleurs, pourquoi d’ailleurs Moteur n’a-t-elle jamais insisté pour la visiter et est-elle restée dans une semi-frustration ?
La nuit, un son sourd se perd transporté par le froid, et parfois par le vent et par le silence ambiant.
C’est le cœur de l’Usine, son poitrail qui bat.
Sans doute se nourrit-elle la nuit ou œuvre-t-elle à son projet. Au fin fond de son lit et blottie contre son oreiller, Moteur le perçoit par tous ses sens.
Elle en retire une douleur cérébrale persistante et pulsatile.
Elle sait que le site est illuminé la nuit et que l’Usine ne dort jamais.
Elle le sait car parfois, elle ouvre la fenêtre en catimini – ses Parents se situant alors à l’autre bout de la Maison-Usine – et elle utilise son télescope pour espérer observer une étoile filante et/ou la lune et/ou des indices vers l’Usine malgré les sapins et le mur.
Il lui faut alors soulever les volets roulants en bois qui pèsent une tonne.
Moteur se persuade que ses Parents ne peuvent pas entendre depuis l’autre bout de la Maison-Usine.
Ce doit être d’ailleurs un télescope de mauvaise qualité car en réalité, Moteur n’y a rien observé d’intéressant, ni dans le ciel, ni ailleurs.
Le jour, il arrive que la sirène de l’Usine retentisse à l’heure du déjeuner.
En cas d’incident à l’ammoniaque, il faudra se réfugier à la cave, explique Madame H et cela même au moindre doute.
Parfois, une odeur âcre se dégage dans le jardin sans que la sirène retentisse.
Madame H hume avec concentration et fronçant alors les sourcils, s’écrie : « Les enfants, à la cave ! ».
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