Par Philippe GOMAR
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Ma profession d’avocat ne me prédestinait pas à devenir écrivain, mais j’ai toujours, depuis l’enfance, été attiré par la lecture et l’écriture. Ce qui me passionne avant tout c’est raconter des histoires. Tout part d’une idée centrale et je laisse mon imagination faire le reste.
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Ancien avocat, passionné d’écriture, j’ai raccroché la robe après près de 3 décennies au Barreau de PARIS pour devenir écrivain et donner ainsi libre cours à ma passion avec pour seules limites celles de mon imagination.
L’idée centrale du livre est représentée par la création d’une machine permettant de trouver l’âme sœur grâce aux avancées de la science et de la technologie. Je me suis notamment inspiré de certains films, ainsi que d’un livre culte : le DA VINCI CODE de Dan BROWN, dont j’ai repris à mon compte l’invention du Codex. Ce roman explore la quête universelle de l’amour véritable interrogeant les sacrifices nécessaires pour trouver l’âme sœur. Il met en scène un couple luttant pour son amour, dans un monde réfractaire au changement. Il ne s’agit pas d’un récit fantastique car en l’état actuel des connaissances scientifiques, une telle invention pourrait fort bien exister (en outre, les lieux, monuments, statues… décrits dans cet ouvrage existent bel et bien), mais plutôt d’un récit épique, mêlant références historiques, bibliques et mythologiques, où l’amour finit par triompher, comme catalyseur d’une nouvelle ère.
« Au commencement, des associations dénonçant les effets collatéraux de la machine sont nées un peu partout et ont proliféré, comme se multiplie un virus dans une cellule infectée selon le phénomène de la réplication virale.
Elles se sont ensuite coordonnées et organisées dans des structures qui ont grossi au fur et à mesure du mécontentement de la population. Les mouvements féministes, assimilant la machine à une nouvelle manifestation de l’emprise de l’homme sur la femme, en particulier la femme au foyer, les ont rejoints. Les plus pacifistes se sont contentés d’organiser des manifestations démocratiques, qui se sont dissipées dans le calme, mais très vite, la situation a dégénéré et ce fût l’escalade de la violence, la population, qui, depuis des siècles, n’attendait qu’un prétexte pour s’émanciper de la tutelle de l’Etat, s’en est prise à tous les symboles de l’autorité : les ministères, les monuments, la police, l’armée, toutes les administrations représentant le pouvoir régalien de l’Etat, tout a été détruit, anéanti, la colère du peuple, trop longtemps contenue, est passée comme une lame de fond et a littéralement pulvérisé les dernières représentations de la puissance publique, rappelant au passage, aux gouvernants, que seule la nation est souveraine et qu’ils ne sont que des mandataires, délégataires de la souveraineté du peuple, pour une courte durée, le temps d’un mandat.
C’est alors que la religion s’en est mêlée. Je devrais dire les religions. Pour la première fois dans l’histoire depuis que l’homme existe, les différentes religions connues sur la planète se sont alliées pour s’opposer à leur ennemi commun : la machine, représentant à leurs yeux l’incarnation du diable. Selon elles, la rencontre entre deux êtres ne peut être que le fruit du destin, c’est-à-dire de l’œuvre de dieu. L’homme ne pourrait reprendre le pouvoir sur dieu et décider de sa destinée. En s’attaquant à la cellule familiale qu’elle détruirait de l’intérieur, à l’instar d’un virus, la machine s’attaquerait à la volonté de dieu.
Galvanisées par la religion, les populations se sont soulevées contre son pouvoir et, pour renverser l’autorité de l’Etat, ont créé des milices plus puissantes que l’armée, débordée par le nombre. Les personnes soupçonnées de sympathie envers la machine ont été condamnées au bagne et enfermées dans des geôles ou pire, purement et simplement exécutées après des procès s’assimilant à des parodies de justice et rappelant la terreur révolutionnaire du Tribunal du même nom ou plus récemment, la terreur stalinienne des purges de Moscou. Partout, l’anarchie et le chaos sont devenus l’emblème du nouvel ordre mondial ».
Extrait non disponible.
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