Par Rose Marlin
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Ce livre s’inspire de malédiction du personnage principal et de création à l’instar de Frankenstein. Il décrit une jeune femme torturée par la vie et passionnée de musique. L’histoire se situe au temps de la Renaissance.
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Rose Marlin est artiste peintre et auteure. Elle a notamment écrit et publié quatre livres pour enfants.
La malédiction d’Ulrike est divisée en quatre grandes parties. Le roman se passe à l’époque de la Renaissance. Ce livre parle avant tout de malédictions et de musique. L’histoire suit la vie d’une jeune femme qui cherche à combattre ses peurs. Elle souffre la plupart du temps mais trouve du réconfort à travers son instrument de musique fort connu à la Renaissance, le psaltérion. Le roman a pour but de s’inscrire dans la lignée des livres où généralement souffrance et création sont intimement liées. J’ai voulu insérer mon personnage principal à travers le prisme de la musique. Le livre retrace son enfance, pour mieux donner sens à sa souffrance et à sa passion pour la musique, une fois qu’Ulrike devient une jeune femme.
Ulrike Messinger se promenait hors des enceintes de la ville à la recherche d’un endroit tranquille où jouer du psaltérion. Elle était vêtue simplement d’une longue jupe beige et d’un corsaire blanc qui s’assortissaient avec sa peau claire. Le temps était très doux, elle prit place sur l’herbe au pied d’une colline et resta longtemps à contempler le paysage. Elle observa un petit bosquet situé devant elle, à deux lieues de son emplacement. Les feuilles pourpres et le tronc gris-brun d’un hêtre attirèrent son attention. La couleur cendrée de son houppier lui donnait un caractère sensiblement paisible. Les nuages dispersés dans le ciel comme de grises étoffes de soie cachaient de temps en temps le soleil et flétrissaient de mélancolie le paysage. Son regard absorbé par le paysage dénotait un certain zèle méditatif. Les sons aiguisaient sa perception auditive, comme les chants des oiseaux et les stridulations des criquets. Pleine d’inspiration, elle se lança dans une mélodie avec une gamme musicale aussi aérienne que la senteur du blé voguant jusqu’à ses narines. Elle pinçait les cordes avec une plume d’oie dans sa main droite et une plume de corbeau dans la gauche. Ce qu’elle interpréta se fondait dans le paysage tellement sa mélodie s’y immisçait et traduisait les moindres détails qu’elle percevait. Le rythme s’accentuait avec une majorité de notes aiguës qui mettaient en avant une tonalité aussi douce que vigoureuse. Au sommet de la colline, il y avait une ferme. Des plantations de blé et d’orge étaient disséminées tout autour. Un paysan y travaillait. Il était chauve, la barbe hérissée, il avait un air d’homme des montagnes. Alors qu’il labourait la terre à l’aide d’une charrue, il entendit ce qu’elle jouait. Comme aimanté par la mélodie qui s’insinuait dans les abysses de son âme, il descendit la pente, se dirigea droit vers le lieu d’où elle provenait, curieux de voir qui était à l’œuvre. Il fut surpris en voyant une jeune fille jouer avec autant de délicatesse. La perfection de son jeu l’étonna. Il était dominé par une étrange sonorité qui lui faisait forte impression. Elle fut ravie en apercevant le paysan l’écouter. L’émerveillement brillait dans les yeux de ce dernier, comme le plaisir de jouer illuminait ceux d’Ulrike. Elle avait le cœur léger, l’âme paisible, le geste sûr. Tout deux sentaient leur esprit vibrer de ferveur.
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