Par Adrien Moreaux
Montant récolté :
508,00 €
Objectif : 990,00 €
9 contributeurs
Vous pouvez soutenir ce projet en versant un montant libre et vous recevrez autant de contreparties correspondantes à ce versement.
Si vous souhaitez acheter une quantité précise de livres, merci d’indiquer un montant correspondant à la quantité voulue et de préciser cette quantité dans les commentaires de votre commande.
Poète, conteur, et amoureux de la littérature, convaincu qu’un un récit peut ouvrir tout le champ des possibles, j’ai voulu raconter l’histoire de Corentin et Samuel dont la trame est inspirée d’une nouvelle de Léon Tolstoï parue en 1889, la Sonate à Kreutzer. J’ai écrit ce livre pour mieux comprendre les passions qui nous emportent derrière l’apparente sérénité de nos existences, tout le panel des sentiments, des émotions qui peuvent nous dérouter, nous trahir, nous ravir ou nous tromper. J’ai voulu aussi mieux comprendre ces douleurs, ces peines et ces souffrances que porte en elle toute maladie et toute différence dans le rapport de soi aux autres, à la famille, à la société et ses mœurs.
Je vous propose d'être acteur de la naissance de mon livre en m'aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
Votre paiement sera effectué en toute sécurité grâce à notre prestataire Stripe, qui vous garantit la fiabilité et la protection des données. Vos transactions sont chiffrées et vos informations bancaires restent confidentielles, vous offrant une expérience d’achat sereine et sécurisée.
Je suis né à Bagdad en Irak, en 1980. Fils d’un ingénieur et d’une guide conférencière, j’ai grandi en Algérie puis dans la région parisienne, dans la Vallée de Chevreuse où j’ai passé une enfance heureuse. Ancien élève de l’Institut d’études politiques de Paris, journaliste de formation, je n’ai jamais cessé d’entretenir ma passion pour l’écriture, la musique et les arts du spectacle. Ma vie a pourtant basculé à l’âge de 25 ans lorsqu’on m’a diagnostiqué un trouble schizophrénique que je soigne depuis plusieurs années et avec lequel j’ai appris à vivre malgré tout. La littérature est devenue pour moi, au fil du temps, une raison d’être autant qu’un jeu sur le style, les mots, les histoires à partir de toutes ces voix intérieures que j’ai en moi.
Mon livre est le fruit de questionnements existentiels mais aussi le résultat d’une réflexion sur la notion de destin, sur la question du sens de la vie, du passage de l’adolescence à l’âge adulte, de cette énigme à laquelle je suis confronté depuis mon enfance et que je pourrais résumer par ces trois questions philosophiques fondamentales : Qui suis-je ? Où vais-je ? et que m’est-il permis d’espérer ? Le roman se déploie entre Paris et New York comme une sonate à la fois douce, cruelle, parfois lyrique souvent à demi-ton, rivé au familier, partant de la banalité quotidienne pour aller vers ces lieux où jaillit l’extraordinaire. Le mouvement suit la forme d’une sonate avec une exposition, un développement et une réexposition. Mis en danger, le lecteur sera confronté aux passions, aux atermoiements de l’amour, aux idéaux contrariés, aux zones d’ombres de deux amis, deux artistes dans leur quête de soi. Le dernier accord est un drame familial qui relie ces deux personnages aux destins croisés depuis l’enfance jusqu’à l’âge adulte. Il s’adresse à tous celles et ceux qui ont connu un jour ou l’autre le sens tragique de la vie qui est ici considérée comme un combat, ce moment où tout peut basculer. Soutenir ce projet, lire ce roman c’est une promesse de voyage fictif qui vous permettra de trouver des réponses à cette question que nous taraude tous dans nos rêves comme dans nos cauchemars : Comment doit-on vivre ?
Incapable de trouver seul le sommeil, je m’étais donné quelques règles à suivre : écouter Billie Holiday, prendre un somnifère et dessiner des portraits. Au lieu de recharger mon Smartphone dont je me lamente si souvent parce qu’il a la fâcheuse tendance de se greffer sur ma main, je l’avais allumé. Un SMS était apparu ainsi, de manière presque impudique :
« Les rêves de gosses, on ne s’en défait jamais. »
Je n’eus guère prêté attention à cet événement et ses conséquences encore inconnues si je n’avais veillé tard en écoutant la voix éreintée de Billie. Quant à savoir si cette histoire aurait pu tourner autrement ou si elle avait été préméditée par quelques mots affichés sur un écran, ce n’est pas le sujet. Qui aurait imaginé qu’un simple texto déclencherait toutes ces péripéties ? Je fis comme si de rien n’était même si j’eus une réaction tout à fait prévisible. Qui m’avait envoyé ce message ?
Une seule chose me préoccupait depuis que j’avais foulé le sol de New-York : mon audition. J’avais si longtemps attendu ce moment que rien ne pourrait plus m’en divertir. Avec toute l’anxiété que l’on imagine chez un patient attendant d’être opéré, je tendais vers ce seul but. Sans dire que cela tournait à l’obsession, j’étais arrivé au seuil critique de l’idée fixe. Celle d’intégrer la prestigieuse Juilliard School au Lincoln Center. L’école, bientôt vieille d’un siècle, avait ouvert une section jazz en 2001 et je m’étais juré d’y parfaire ma formation de musicien. Mon père, un ébéniste réputé d’Alsace, m’avait souvent promis depuis notre arrivée en région parisienne que je deviendrais un artiste comme ma mère, une chanteuse d’opéra disparue prématurément dans un accident de voiture près de Leipzig. Le jour de mes sept ans, je revenais à peine de l’école quand mon père me dit de monter dans ma chambre. Sur le lit, je trouvai une boîte blanche niellée d’arabesques. J’ouvris l’étui et m’émerveillai de la beauté placide d’un violon m’invitant à le saisir. Intimidé, j’avais d’abord refusé de le toucher. Mon père m’avait alors rétorqué : « Prends ton temps, mon garçon », insinuant ainsi qu’entre toutes les qualités morales, la patience est la plus utile à l’Enfant qui aurait, sans doute, précipité son geste s’il ne s’était agi de moi.
Je vous invite à participer aux étapes de la naissance de mon livre dont l'objectif de préventes est de 990,00 €. Chaque prévente apportera sa pierre à la réalisation des maquettes, de la correction, de l’impression, de la promotion médias et de la diffusion en librairies. C’est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, auteures, lecteurs, lectrices, amoureux et amoureuses des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité en bénéficiant d'une équipe de professionnels.
Apportez votre pierre à l'édifice
Apocalypse-en-Caux part d’une obsession qui m'anime : celle de notre vulnérabilité réelle face à des actes de sabotage coordonnés sur nos infrastructures critiques. En m’appuyant sur des documents publics, des rapports d’incidents (ASN, EDF...), et des...
L’inspecteur … est chargé d’une enquête visant à déjouer un attentat. Pour cela, il s’appuie sur une page disparue du carnet de Villard de Honnecourt. Ses recherches le conduisent à étudier l’architecture et l’histoire des cathédrales. Mon père travaillait...
Forgée par des épreuves personnelles et le combat de mon époux contre la maladie, j’ai appris à puiser dans la résilience. Le roman policier, mêlant suspense et profondeur humaine, s’est imposé comme le vecteur idéal pour porter mes convictions. Convaincue...
Mon livre parle d'une adolescente qui découvre un coffret dans une épave de bateau au large de l'île de Ré. A l’intérieur, une vieille photo jaunie, un bijou ancestral et un manuscrit défraîchi datant de l’an 1917 la transportent dans le passé méconnu...