Par Yvonne MEDJO
Montant récolté :
130,00 €
Objectif : 990,00 €
2 contributeurs
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Jeune Camerounaise, je suis mère d’une petite fille, amoureuse de la vie et de son travail, rêveuse, déterminée, fantaisiste. Je me suis inspirée des péripéties de mon quotidien de jeune femme vivant dans une grande ville africaine, pour mettre en lumière la nécessité de rester fidèle à soi, dans un contexte où les tracas du quotidien poussent à renoncer à ses valeurs.
Je vous propose d'être acteur et actrice de la naissance de mon livre en m'aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
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Yvonne Medjo vit et travaille à Yaoundé, où elle a poursuivi des études de sociologie et de secrétariat. Dévorée par l’envie d’écrire depuis son enfance, elle se lance enfin dans cette grande aventure avec « Les tendresses fauves », son premier roman.
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Et si nos blessures d’enfance décidaient en secret de nos amours d’adultes ?
À travers le parcours de Lise, ce roman plonge au cœur des cicatrices invisibles : la perte, la peur de l’abandon, la violence affective… et cette quête acharnée d’un amour qui apaise autant qu’il enferme.
L’originalité du projet tient dans son mélange de tendresse et de tension, où chaque relation devient un miroir de nos propres failles. C’est un récit intime, mais universel, qui parlera à toutes celles et ceux qui se sont déjà sentis prisonniers de liens qu’ils pensaient salvateurs.
Participer à sa création, c’est donner vie à une histoire qui ose mettre des mots sur ce que beaucoup taisent : la dépendance affective, la difficulté à se reconstruire, la force qu’il faut pour se libérer.
Ce livre s’adresse à un public amateur de récits psychologiques, de romans intenses et sensibles, inspirés par des plumes comme Annie Ernaux, Delphine de Vigan ou encore Elena Ferrante. Son ambition : toucher, éveiller, libérer.
La relation que j’entretenais avec Elvis se dégrada quelques années après la naissance de notre fille. Ses absences étaient encore plus fréquentes. Il arriva un temps où il était de moins en moins présent chez nous, des jours et des semaines entières. Notre concubinage allait-il se solder par un mariage ou non ? Je commençais à avoir de sérieux doutes sur ses intentions.
Plusieurs questions me turlupinaient : ne regrettait-il pas de s’être mis en couple ? Ne profitait-il pas de ses absences pour fuir le cocon familial ? Ne souhaitait-il pas retrouver sa liberté ? Était-il réellement prêt pour le mariage ? Il n’avait sûrement pas fini de profiter des plaisirs de sa vie de célibataire ! Et moi, pour lui prouver mon sérieux, malgré les mises en garde de ma sœur, j’avais cessé mes études pour élever notre fille. Après ma licence doublée d’une formation en secrétariat, je menais une vie de femme au foyer, espérant que j’avais trouvé ma place.
Je soupçonnais Elvis de me tromper. Les disputes étaient devenues fréquentes entre nous, car il détestait répondre à mes questions. Il s’était ensuite mis à me frapper lorsque j’insistais pour obtenir des explications. Un jour, après une violente dispute à laquelle notre fille avait assisté, soucieuse de l’élever dans un cadre plus apaisé, sur un coup de tête, je décidai de partir quelque temps. Je partis pour Yaoundé, auprès des membres de ma famille qui vivaient à la capitale, à bien plus de trois-cents kilomètres de Douala.
Cette séparation sembla soulager Elvis. Non seulement il n’avait rien tenté pour me retenir, mais des semaines plus tard, il ne s’était pas manifesté.
Rosine et moi avions retrouvé l’ambiance familiale dans laquelle j’avais grandi. Nous étions bien entourées par mes oncles, mes cousins et cousines, et les questions matérielles et financières ne se posaient pas. Mon père avait constitué un patrimoine immobilier afin de garantir un toit à ceux qui, se trouvant au chômage ou n’ayant pas pu devenir autonomes, vivaient toujours à la maison, et ils étaient bien nombreux. Que serions-nous devenus, ma fille et moi, sans cette échappatoire ?
Je vous invite à participer aux étapes de la naissance de mon livre dont l'objectif de préventes est de 990,00 €. Chaque prévente apportera sa pierre à la réalisation des maquettes, de la correction, de l’impression, de la promotion médias et de la diffusion en librairies. C’est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, auteures, lecteurs, lectrices, amoureux et amoureuses des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité en bénéficiant d'une équipe de professionnels.
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Je suis un jeune écrivain de 24 ans, d’origine savoyarde, ayant trouvé refuge dans la terre des canuts. En perpétuelle quête de sens et de combat, l’écriture et la politique sont mes oxygènes. La publication de ce livre, je la dois en grande partie...
Tombé dans la musique à l’âge de cinq ans, je suis violoniste, passionné d’art, d’écriture et de l’humain dans toutes ses nuances. La vie m’inspire, dans ce qu’elle a de fragile et d’intense, comme la poésie des mots et la musique des émotions. Ma sensibilité...
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