Par Bill-Nick FARON
Montant récolté :
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Inspiré de mes traumas et des confidences de mes élèves, ce roman part d'un constat : les victimes sont plus fréquentes qu'on ne l'imagine, et leurs séquelles – honte, méfiance, attachement désorganisé – modifient une vie à jamais. Mais qu'advient-il quand la douleur ignorée bascule et engendre le mal ? J'ai écrit ce livre pour explorer cette faille, non pour excuser, mais pour comprendre l'effroyable mécanique de la reproduction de la violence.
Je vous propose d'être acteur de la naissance de mon livre en m'aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
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Formateur pour adultes (spécialisé en mathématiques et en français), certificateur en langue française, je suis passionné par la psychologie, la psychanalyse, le fonctionnement du cerveau humain, également amoureux des sciences mathématiques et de la poésie. Ma bibliothèque regorge d’ouvrages hétéroclites.
Isaï, enfant abandonné, ballotté de foyers en familles d’accueil, grandit dans la violence et la trahison. Peu à peu, de victime, il glisse dans l’engrenage du mal, jusqu’à devenir à son tour prédateur.
Au-delà du fait divers, le roman interroge la fabrication d’un « monstre » : non comme une fatalité, mais comme la conséquence d’une enfance brisée et d’un système défaillant. C’est une plongée sombre et sans concession au cœur des mécanismes du trauma et de la reproduction de la violence.
Sa singularité tient à la voix d’Isaï : nous suivons sa chute de l’intérieur, avec une froideur clinique, fissurée par une humanité résiduelle qui le rend terriblement complexe et fascinant. Rien n’est excusé, rien n’est édulcoré ; l’écriture s’attache à rendre intelligible l’inexplicable.
Soutenir ce livre, c’est faire exister un récit qui ose affronter la part d’ombre de l’âme humaine, un texte nécessaire, pensé pour susciter le débat et marquer les esprits. Il s’adresse à des lecteurs avertis, sensibles aux psychologies complexes, aux anti-héros et aux romans sociaux sombres, à la lisière du thriller psychologique et de la littérature blanche. Inscrit dans la lignée des romans de rupture et d’analyse psychologique, il puise dans les abysses de l’humain pour en révéler les zones d’ombre les plus troublantes, avec l’ambition d’ouvrir une réflexion sur notre responsabilité collective face à l’enfance maltraitée et d’interroger la frontière ténue qui sépare la victime du bourreau.
Je suis là, sur le parvis de l’église, et j’ai froid.
Il faut dire que je suis arrivé bien en avance ; il fait encore nuit. Je suis le premier. « Pourquoi être venu si tôt ? » me direz-vous.
Je ne saurais répondre avec exactitude. Peut-être que je ne veux surtout pas manquer la messe.
Je suis pourtant très bien couvert mais la fraîcheur nocturne me pétrifie. Les demi-heures passent, je n’ai quasiment pas bougé, pourtant, avec le froid, cela aurait pu m’aider.
L’obscurité s’estompe, je commence à discerner des arêtes de bâtisses et des toitures. J’entends un moteur, un véhicule passe, certainement un livreur, je sens une odeur de pain chaud mais de là où je suis, il m’est impossible de le voir. Est-ce cette odeur qui éveille mon appétit ? J’ai pourtant bu un lait chaud avant de venir. Le village s’éveille doucement, comme lors de chaque journée dominicale.
Des bruits de pas, des talons, quelques femmes s’approchent de moi, me regardent sans me saluer, elles parlent entre elles, se demandent ce que je fais là. Une ferveur s’empare alors de toutes les personnes qui arrivent pour assister au sacrement du curé.
Toutes s’interrogent sur ma présence. Il est vrai que je ne suis pas de ce village. Les portes de la paroisse s’ouvrent grâce à deux jeunes qui suivent le catéchisme et apportent leur aide le Jour du Seigneur. C’est alors qu’une dame, vêtue d’une robe longue et blanche, avec un joli chapeau composé d’une partie en tulle, assorti à sa toilette, s’exclame que je dois être gelé et décide de me porter.
Elle attrape alors l’anse du couffin en osier dans lequel j’ai été installé par maman et entre dans l’église en cherchant l’homme de foi. Je l’entends qui appelle :
— Père Adrien ! Père Adrien !
Son prénom résonne dans l’église, rebondit de mur en mur jusqu’à trouver les tympans de son destinataire.
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