Religion Initiation Pouvoir - L’Orient Eternel a dit…

« Demandez et vous recevrez ». Une révélation dans sa trente-troisième année, puis jusqu’à ce jour un parcours atypique de recherche intérieure spirituelle. Dix livres voilà le travail qu’il ferait et laisserait à ses semblables incarnés.

Ce livre est le neuvième. Entre le monde physique et le monde plus subtil, invisible pour beaucoup, l’auteur se trouve à l’intersection.

Les religions, par leurs histoires et leurs schismes, n’ont su aborder le fondement universel annoncé pourtant par des sages. Depuis tout temps des groupes parallèles dits « initiatiques », dans le secret ou du moins dans la discrétion, ont recherché, ou ont su un moment, aborder les fondements spirituels possibles en ces diverses époques. Mais tout groupe social n’ayant pas, comme chaque entité humaine individuelle, l’esprit à révéler, n’a pas pu apporter au collectif cette lumière. Le pouvoir a toujours repris le corps, oubliant l’âme. L’histoire construite du christianisme, comme celle de toute organisation initiatique ou maçonnique, nous le prouve, sans être expert pour autant. Quelle est donc la place de l’homme en nos sociétés, qui tentent toujours de les dominer par des croyances et des mythes ? A vous de voir si ce livre ouvre en vous la conscience sur vos environnements, pour poursuivre seul ensuite, la découverte de l’homo-spiritualiste du XXIéme siècle. La clé est toujours dans le verbe et s’adresse à tous les hommes et femmes de ce monde qui veulent s’épurer, avant de rechercher leur chemin personnel sur terre.

Extrait  

Religieux ou initiés, arrêtez d’entretenir d’une main ce que l’autre devrait vous faire dire. Votre verbe ne peut pas être infiniment duel sans vous trahir, et ce temps du déni est passé depuis longtemps. La religion et la franc-maçonnerie sont identiques spirituellement car réunies par l’ésotérisme. Vous êtes séparés par vos propres enfermements dans l’exotérisme. C’est ce qui sépare, comme ce qui sépare tout en ce monde physique. L’Exo vous met les pieds sur terre, l’Eso est depuis toujours le lien qui vous rattache à l’esprit. Vous vous craigniez tous entre vous par peur des autres, par peur qu’ils s’imposent à vous et à vos intérêts, comme vous craigniez par inconscience l’inconnu et l’invisible part présente en vous qui vous demandera d’abandonner en toute conscience active, vos acquis. L’esprit vous libère de la peur, au terme de votre temps, de la mort, cette grande peur qui persiste encore et qui empêche de vivre pleinement. Pleurez pour le nouveau-né qui arrive si vous êtes objectif sur la vie humaine. Vos sens restreints sont handicapés car réduits à ceux qui vous servent, alors que les plus importants et utiles pour vous éveiller et vous guider, vous ne les écoutez pas ou plus. Vous ne voyez même pas pour la plupart les nombreux signes qui s’expriment à vos cinq sens primaires, vous préférez les traduire pour en rire et pour ne pas passer pour des fous ou des illuminés. A croire que les connaissances réelles vous fassent peur ou que vous ne voudriez absolument pas entrer dans la lumière pour vous sentir rejeté du groupe par l’inconscience majoritaire en vous. Que des profanes trop occupés, trop accaparés, trop conditionnés n’utilisent pas leur temps pour s’approcher de ce vide sidéral se comprendrait.

Mais que des religieux ou des hommes qui se considèrent comme des initiés et des initiateurs persistent à s’enfermer dans des approches profanes de base, au niveau des vertus humaines comprises par tous, relève d’une pathologie qui reste à déterminer pour la nommer. Ce n’est pas une maladie issue de l’esprit, mais de l’âme, qui se nomme l’inconscience. Elle se nommerait plus exactement « Le manque ». Le manque pour certains, le refus pour beaucoup. Vous avez des sentiments, vous ressentez intérieurement des vibrations sans savoir les expliquer et sans même les attacher aux besoins de vos corps, ou de vos pensées du moment, et cela devrait vous suffire pour ne jamais vous sentir seul. Vous ne vous parlez pas pour sortir de vos conditions emprisonnantes sur le plan physique, vous abordez trop le « moi » et le « je » pour retrouver le « soi », pour que le soi reçoive plus réactivement les échanges du monde invisible qui ensuite seraient plus utiles au moi, votre « je ».