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Passionné d’histoire militaire, je cherche à donner un peu plus de couleurs à une historiographie française encore un peu trop tournée sur elle-même et sur des périodes déjà maintes fois explorées. A travers ce livre, j’espère apporter un éclairage suffisant sur une région du continent américain encore peu traitée.
Je vous propose d'être acteur de la naissance de mon livre en m'aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
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Guillaume Journot est diplômé de Sciences Politiques de Paris-II Panthéon-Assas spécialisé dans l’industrie militaire et l’étude des conflits armés. Blogueur et écrivain, il travaille pour une société privée.
Cet ouvrage retrace la curieuse existence d’un obscur cadet de l’armée espagnole devenu dictateur tout-puissant du Mexique au XIXe siècle.
Inconnu du grand public en France, Antonio López de Santa Anna (1794-1876) a pourtant tout pour plaire à nos compatriotes : surnommé le « Napoléon de l’Ouest », général fantasque et mirobolant, charmeur et roublard, il accompagna les grandes heures de l’indépendance mexicaine et marqua durablement le paysage politique de son empreinte.
Comment cet homme pourtant patriote acharné et formidable meneur d’hommes a-t-il pu perdre le fil de son destin ? Et comment la jeune nation indépendante évolua-t-elle sous son commandement, face aux appétits des grandes puissances mondiales ?
Les passionnés d’Histoire seront ainsi curieux de découvrir un personnage dont il n’existe encore aucune biographie en France et qui croisa la route de Davy Crockett, Benito Juárez, Andrew Jackson ou encore Napoléon III.
Selon la légende, la veille de l’assaut, le colonel Travis, désormais seul chef de la petite garnison après qu’une maladie ait cloué Bowie au lit, réunit les hommes au soleil couchant et trace une ligne dans la terre avec son sabre ; ceux qui veulent se rendre peuvent la franchir, mais ceux qui veulent se battre jusqu’au bout peuvent rester à ses côtés.
Aucun soldat de la garnison n’abandonnera le jeune Travis, sauf, selon certains dires, un dénommé Louis Rose, un Français, ancien combattant de Napoléon. La légende est belle, mais sans doute apocryphe… D’autant plus que la veille de l’assaut, le 5 mars, Travis aurait bel et bien envisagé de capituler en échange de la vie sauve pour tous ses hommes, ce que Santa Anna aurait bien entendu refusé, n’acceptant qu’une reddition sans conditions et privilégiant de toute manière son assaut glorieux.Vers 3h du matin, ce 6 mars 1836 et dans le plus complet silence, plus d’un millier de soldats mexicains se massent au pied des murs de l’Alamo. La plupart ont reçu l’ordre de retirer leurs chaussures pour faire le moins de bruit possible ; Santa Anna a aussi pris soin de détacher sa cavalerie et de couvrir les voies de retraite possibles pour empêcher toute tentative de fuite des Texans dans la campagne.
Les rebelles, épuisés par deux semaines d’escarmouches et de bombardements nocturnes, somnolent dans leurs quartiers. Soudain, des trompettes font retentir une sinistre sonnerie : El Degüello, vieux signal de cavalerie espagnole signifiant « égorgement », vient de donner le signal de l’attaque. Les Mexicains se ruent à l’assaut au cri de « Viva Santa Anna ! Viva la Republica» ! Alertés, les rebelles se ruent sur les remparts, Travis se précipite à son poste sur le mur nord ; « No rendirse, muchachos ! » adresse-t-il à des tejanos qui se battent à ses côtés ; à peine a-t-il le temps de donner quelques ordres et de décharger son fusil qu’il est rapidement frappé d’une balle en pleine tête.
Je vous invite à participer aux étapes de la naissance de mon livre dont l'objectif de préventes est de 990,00 €. Chaque prévente apportera sa pierre à la réalisation des maquettes, de la correction, de l’impression, de la promotion médias et de la diffusion en librairies. C’est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, auteures, lecteurs, lectrices, amoureux et amoureuses des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité en bénéficiant d'une équipe de professionnels.
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Je m'appelle Véronique Caumartin. Originaire de la région parisienne, je me suis installée dans la Drôme en 2008. Née avec un handicap, j’ai décidé de raconter mon parcours de vie dans une autobiographie intitulée On m’appelle Albator !, parue en 2023. L’écriture...
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