Par AMIN Sebaha
Montant récolté :
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J’écris pour partager des histoires qui me tiennent à cœur, en espérant qu’elles éveillent quelque chose chez celles et ceux qui les lisent.
J’ai écrit ce livre comme un peintre qui, face à un paysage, se met à peindre par évidence. L’histoire s’est imposée à moi avec sa force et sa clarté : je n’ai fait que la transcrire pour l’offrir au lecteur.
Avec les Éditions Maïa, je souhaite aujourd’hui donner vie à ce projet. Votre participation aux préventes sera un appui précieux pour que le livre trouve son chemin vers davantage de lecteurs. En remerciement, votre nom figurera dans l’ouvrage, et vous le recevrez en avant-première directement chez vous, frais de port inclus !
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Artiste pluridisciplinaire, Amin Sebaha explore depuis toujours le théâtre et la danse entre la France et l’Algérie, en tant qu’auteur, chorégraphe et metteur en scène. Durant la période du Covid, il s’est consacré à l’écriture et a publié plusieurs ouvrages, dont Messkina et l’Arche d’Amazogh et Z.M. (Éditions Vérone), tandis que TAM TAM (Éditions MAÏA) et Illaj sont en cours de parution.
TAM TAM explore l’idée que le véritable amour est immortel : lorsqu’il habite l’âme plutôt que le corps, il traverse les épreuves et renaît sans cesse. Par sa force poétique, le roman met en lumière un amour pur qui transcende la douleur et relègue le mal dans l’ombre—comme la face cachée de la lune. Porté par le désir d’un monde réconcilié avec lui-même, TAM TAM fait de la littérature un espace de rencontre, de mémoire et d’espérance. Il s’adresse à toutes celles et ceux qui ont aimé, qui aiment encore, et qui choisissent l’amour plutôt que la haine. Soutenir TAM TAM, c’est faire résonner la voix d’un récit universel, un hymne à l’amour et à la paix qui dépasse les frontières et les différences. En somme, TAM TAM est un roman sur l’immortalité du sentiment véritable—celui qui, ancré dans l’âme, persiste et se réinvente, malgré tout.
Dans cette barque royale, une silhouette de femme était assise sur un petit trône sculpté, vêtue d’un tissu fin comme une brume d’or, rehaussé de broderies complexes évoquant les constellations. Des bijoux, bracelets, colliers, diadème, captaient chaque éclat de lumière, les transformant en un halo qui semblait émaner d’elle-même. Ses cheveux, noirs comme une nuit sans lune, tombaient en cascades ondulantes, encadrant un visage d’une beauté grave et intemporelle.
Mon cœur déjà palpitait.
Les rameurs, parfaitement synchronisés, avançaient dans un silence solennel. Même les oiseaux semblaient suspendus dans les airs, comme figés par une force invisible. L’embarcation fendait l’eau avec une grâce irréelle, laissant derrière elle une traînée d’écume qui clignotait en poussière d’étoiles. Une musique douce, jouée par des musiciens invisibles à bord, accompagnait son passage, ajoutant une dimension féerique à la scène.
Je suffoquais.
C’était tout là, près de la gorge, une sensation brulante cherchait son chemin pour s’évader.
Elle dégageait une majesté sereine, une aura qui faisait vibrer l’air autour d’elle. Tout comme l’univers, je retenais mon souffle. Je restai figé, les mains toujours posées sur mon tambour, les dernières résonances de mes frappes semblant s’accrocher à l’atmosphère humide pour mieux atteindre son âme.
Touchée !
Ses yeux, deux abysses pleins de mystères venant d’un ailleurs de ma connaissance, croisèrent enfin les miens. Telle une étoile filante traversant le ciel nocturne, une reconnaissance immédiate traversa l’espace entre nous.
S’était-elle.
J’en tremblais.
Elle se leva avec une majesté défiant le temps et la gravité. Ses cheveux corbeau flottaient autour d’elle, comme s’ils dansaient en harmonie avec les pulsations de mon tambour. Le fleuve, large et paisible, semblait s’incliner sous son embarcation, lui offrant un passage angélique. Sa tête se tourna vers moi, son sourire léger, mais éclatant, et elle tendit les bras pour attraper les pagaies que ses rameurs lui tendaient avec révérence.
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