Par Thierry SNAGG
Montant récolté :
321,00 €
Objectif : 990,00 €
7 contributeurs
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Je suis toujours en mouvement, parfois difficile à saisir. Rien ne détourne ma détermination : quand j’ai une idée en tête, il est difficile de me faire changer d’avis. Exigeant envers moi-même, j’entraîne aussi les autres à aller de l’avant. Guidé par ma foi et porté par le soutien de quelques inconditionnels, je traverse les épreuves.
« Ne pas baisser les bras » est ma devise, ancrée au plus profond de moi. Ce que je choisis de taire, je le range dans des tiroirs scellés. J’essaie d’aider chacun à se délester de ses fardeaux pour révéler le meilleur en lui.
Je crois que l’espoir est notre meilleur allié, et qu’il faut toujours donner un peu à celui qui n’a rien.
Je vous propose d'être acteur de la naissance de mon livre en m'aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
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Je m’appelle Thierry Gustave SNAGG, né le 19 septembre 1964 à Basse-Terre (Guadeloupe).
Mon père, Amboise SNAGG (né le 17 février 1935), horloger-bijoutier et orfèvre, a repris l’affaire familiale et a su la faire prospérer.
Ma mère, martiniquaise, née le 24 novembre 1938, était infirmière et couturière à ses heures.
De leur union sont nés trois enfants, dont moi — un « phénomène », dit-on.
L’écriture m’est venue après un drame familial ; j’avais seize ans. Je noircissais des pages et des pages de cahiers Fontaine. Cette thérapie m’a ramené à la vie d’adulte, sans que je sache vraiment où elle me conduirait. Aujourd’hui, j’en suis plus sûr : voyons la suite.
Mes inspirations naissent de tous ces voyages à travers ce monde parfois cruel que j’ai épousé. Un ouvrage ne se limite pas, pour moi, à la seule fiction que l’esprit explore : il commence par la journée vécue, par tout ce qui capte mon attention, à la seconde où mon subconscient saisit une image, un objet, un détail… Je n’ai jamais la phobie de la page blanche ; j’avance, et je combats en même temps la sauvagerie qui sommeille en moi.
Cet ouvrage.
À la maison, il y avait beaucoup de documentation sur le général de Gaulle, ce qui a nourri ma curiosité pour certains événements liés aux guerres : le comment et le pourquoi. J’arpente l’Asie depuis longtemps, notamment Saïgon et Hanoï, et je me suis penché sur cette histoire française où les Américains ont, eux aussi, semé le chaos. Je me suis d’abord documenté en médiathèques et bibliothèques pour donner du sens à tout cela et faire coïncider les dates. Il ne manquait plus qu’un Américain dans cette histoire très française. Ce travail m’a pris quatre longues années.
Le thème.
Parler de torture — parce qu’elle existe encore, malheureusement —, et j’ai quelques raisons d’en parler (j’ai été commando). En soixante-et-un ans, j’ai eu trois vies : mon enfance, un purgatoire à ciel ouvert dont personne ne voyait la souffrance ; puis ma vie d’homme, ses échecs, et cette capacité à toujours rebondir — l’espoir, sans doute, ou peut-être la haine qui sommeille en moi…
Son originalité.
La forme et la vision : je les ai conçues à force de voir défiler des images de guerre. J’avais aussi envie de mettre à l’épreuve un personnage américain. Plus sérieusement, l’originalité s’enracine dans les lectures critiques d’une consœur de confiance (Arlette Pujar) qui, depuis toujours, lit et relit mes textes. Une femme sans pitié : elle vous guide et, quand quelque chose ne va pas, vous remet sur les rails pour trouver la bonne formule.
Pourquoi soutenir ce projet ?
J’ai fait un rêve qui m’a soufflé que c’était le moment, avec une pointe de retenue. Après tant de refus, votre regard compte. Il y a un risque à partager, ensemble. Vous raconter ce rêve ? Peut-être un jour…
Public visé.
Un public de connaisseurs, mordus d’histoire de l’Indochine d’antan, entre 1939 et 1944, une époque révolue.
Mes ambitions.
Si mon rêve s’avère bon, il doit m’amener à l’audience que je me suis fixée. Le rêve a déjà commencé, puisque vous êtes venus vers moi. Pour qu’il dure, il faut travailler encore et encore la présentation, la communication, la visibilité. Le monde paraît grand, mais les liens qu’il tisse sont parfois plus petits que ce que l’on imagine ; ils dépassent les codes.
« Sans même avoir le temps de dire un mot, je me retrouvai à Saïgon, un soir d’une nuit très humide, attaché sur une chaise, la tête penchée en arrière, étouffé par des gouttes d’eau qui coulaient inlassablement d’une bassine suspendue juste au-dessus de ma tête. »
« Mayday, Mayday, Mayday… »
1944. James, un soldat américain, et trois de ses compagnons, partis du porte-avions USS Hornet, essuient des rafales de mitrailleuses avant d’être contraints de s’éjecter de leurs appareils.Perdus au milieu d’une jungle hostile, sous un épais brouillard, les quatre hommes sont rapidement capturés par les soldats saïgonnais.
Et c’est là que commence l’histoire de Sprit James et de ses hommes, dans cet endroit lugubre et fatal pour beaucoup. La torture, les aveux, la captivité…Un Américain à Saïgon nous raconte, à travers le regard d’un soldat américain captif de l’armée saïgonnaise, l’histoire d’un combat : le récit d’un homme face à lui-même.
Un huis clos haletant au cœur de l’enfer de la guerre d’Indochine.
C’est aussi un hommage à l’Indochine, une guerre oubliée : (1945-1954)
En mémoire des 70 ans de la chute de Diên Biên Phu.
Je vous invite à participer aux étapes de la naissance de mon livre dont l'objectif de préventes est de 990,00 €. Chaque prévente apportera sa pierre à la réalisation des maquettes, de la correction, de l’impression, de la promotion médias et de la diffusion en librairies. C’est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, auteures, lecteurs, lectrices, amoureux et amoureuses des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité en bénéficiant d'une équipe de professionnels.
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