Par Elie Ayoub
Franco-libanais, ayant vécu à Beyrouth pendant la guerre civile pendant les années soixante-dix, je cherche dans ce que j’écris à décrire ce que peut induire une telle situation, dans la durée, sur ce qu’on pourrait appeler l’‘humanité’ de quelqu’un. Plus spécifiquement, il y a quelques mois, les journaux publiaient l’histoire d’un prisonnier tout juste libéré au bout de quarante ans d’un isolement carcéral total, accompagné de tortures et de privations de toutes sortes. Libre, il ne se souvenait plus de son nom, de sa famille ou de ses amis. L’été invincible tente de répondre à trois questions qui, dans le contexte, me paraissaient importantes : D’où vient la force de survivre à quarante ans d’isolement carcéral ? Comment préserver son humanité sous la torture ? Peut-on se reconstruire une fois à nouveau libre ?
Je vous propose d'être acteur de la naissance de mon livre en m'aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
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Elie Ayoub : Psychologue, ancien professeur de communication.
Après avoir passé trente-huit ans en isolement carcéral, Jimi est enfin libre. Il avait vingt-ans lors de son incarcération ; il en a cinquante-huit à sa sortie. Etudiant en droit, activiste sans être révolutionnaire, il rêvait de changer le monde en compagnie de quatre amis, étudiants en droit comme lui. Arrêté lors d’une rafle sans jugement et sans explication, et sans avoir pu prévenir quiconque, il est torturé, humilié et privé de tous ses droits.
L’été invincible est une histoire de trahison, d'abus de pouvoir et d’arbitraire, dans laquelle Jimi, tenaillé, après sa libération, entre espoir et culpabilité, cherche à tout prix à tout oublier de ce qu’il a enduré pour reconquérir son humanité et retrouver la femme qu’il n’a jamais cessé d’aimer.
Entre résilience et volonté de reconstruction, L’été invincible est une histoire d'amour singulière, ainsi que l’illustration de l’idée qu’en chaque être il y a une humanité que personne ne peut ni voler ni effacer, et encore moins vaincre.
Victor n’a pas de clients, il n’a que des Amis, avec un grand A. Des amis de tous âges et de tout sexe. Chez Victor, pour passer commande, il convient de prendre son temps car chez Victor on vient avant tout pour bavarder. Écouter les derniers bruits de la ville. Chez Victor, plus l’ambiance dehors est maussade et froide, plus elle est joviale et chaude à l’intérieur. « Moi, j’offre de l’humain », qu’il dit, Victor. « Collet monté dehors, cravate défaite et col ouvert dedans. Voilà comment Victor reçoit », tient-il à préciser au tout venant.
Chez Victor, le comptoir est usé par les innombrables coudes prolongés par des bras gesticulant à tout va, terminés par des mains tenant un ou même plusieurs canons de vin maison savourés par des palais connaisseurs et ponctuant des envolées oratoires le plus souvent sur la qualité inégalable du breuvage consommé, et d’autres fois des discussions socio-politiques enflammées supportant mal la contradiction.
Chez Victor, l'air est chargé de café, de fumée et de soupirs, imprégné de ces innombrables joutes, aussi bien que des rires et des vivats exaltés les soirs de matches de foot. Chez Victor, des tabourets ajoutés tous les soirs aux heures de grande affluence invitent les habitués à s'attarder et les nouveaux clients à se joindre à la chorale improvisée de faux-poivrots et de vrais ténors. Et lorsque les habitués s’en vont, dispersés aux quatre vents par la nuit finissante, leurs fantômes squattent les coins de la salle, jusqu’à ce que le soleil levant les en chasse comme le plumeau de la femme de ménage la poussière sur les tables. Dis Victor, c’est quoi la nostalgie ?
Inspirés d’un événement réel, L’été invincible et la réflexion qui l’accompagne ne dépassent pas les limites d’un roman.
Toute ressemblance, à quelque niveau que ce soit, avec un ou des lieu(x) réel(s), passé(s) ou présent(s), ne peut être que fortuite. C’est une œuvre de fiction ; aucuns pays ni période n’y sont mentionnés.
Je vous invite à participer aux étapes de la naissance de mon livre dont l'objectif de préventes est de 990,00 €. Chaque prévente apportera sa pierre à la réalisation des maquettes, de la correction, de l’impression, de la promotion médias et de la diffusion en librairies. C’est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, auteures, lecteurs, lectrices, amoureux et amoureuses des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité en bénéficiant d'une équipe de professionnels.
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