Par Jean Louis TOURNE
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De nombreuses années passées à l’étranger (dans des pays anglo-saxons ou asiatiques, notamment) ont éveillé mon goût pour les mythologies. Un long séjour en Grèce m’a révélé la beauté de ces histoires qui se transmettent de génération en génération. Aujourd’hui, j’essaie de passer les mythes en écrivant des romans policiers décalés qui réinventent et interprètent ces contes immortels.
Je vous propose d'être acteur et actrice de la naissance de mon livre en m'aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
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Curieux et toujours prêt au voyage, Jean-Louis Tourne a passé les vingt dernières années dans des pays anglo-saxons, en Asie et également en Grèce. Il semble avoir posé ses valises en Corse mais lui-même ignore pour combien de temps.
Corinthe étouffe ! Corinthe suffoque! Le feu est à ses portes et encercle la ville orgueilleuse.
Derrière ses remparts, la population, sidérée, asperge d’eau les maisons et tente de trouver un salut par la mer. Les riches se déchirent et se rejettent la faute de la situation. Mais voilà que les patriciens, eux-mêmes, se suicident. Un, deux, dix. Que se passe-t-il ? Les voilà qui tombent comme des mouches ! La population s’affole. Est-ce que le suicide est une maladie ? Peut-on l’attraper ? La folie rôde. Lorsque tout vacille, l’inspecteur tente de maintenir un semblant d’ordre et de mener l’enquête avec l’aide de son trio amoureux. Une bien étrange enquête, d’ailleurs, qui les mène vers une secte idyllique où l’on veut refonder le monde. Mais, rien n’est ce qu’il semble être et les enquêteurs seront tout à la fois cajolés, séduits et menacés avant de se battre pour leur propre vie.
Voici un roman policier original, très noir, et écrit au présent et à la première personne. Il ne propose aucun marqueur de temps et les esclaves, hétaïres et autres nommés ici peuvent aussi bien concerner le présent que renvoyer à l’antiquité. « Le feu à ma porte » va ainsi s’intégrer dans un ensemble de réécritures de mythes grecs qui incluront Médée et les Atrides.
J’aime Corinthe. Corinthe est un monde. Ici se rencontrent tous les vents et tous les courants qui irriguent la terre. Tous les navires s’y croisent et tous les capitaines de la grande mer savent qu’ils se retrouveront un jour, ici même, à partager un vin résiné. Corinthe se cache de la terre mais ouvre grand les bras à la mer. Son port accueille les filles de joie et les garçons d’enfer, les grands argentiers et les saltimbanques rutilants, les louches hommes de loi et les dignes paysans du Mani. On y soigne l’ennui à grand coup de parfums, de blé doré et de fourrures immaculées. On y parle beaucoup car la parole est le meilleur des remèdes. On commerce, on marchande, on discute mais aussi on raconte, on prédit, on commente. Les mots s’échangent, se donnent ou se vendent. Et les mots demeurent ; toutes les pensées, tous les serments se déposent dans les ruelles et dans les palais et, au fil du temps, couche par couche, deviennent le socle brillant sur lequel ma ville se construit. Corinthe est portée par les paroles d’amour, d’espoir ou de révolte qu’ont ainsi laissées les visiteurs qui venaient y chercher fortune et qui, sans le savoir, ont fait présent à la ville de ce que leur bouche avait de plus riche. Leurs mots.
Après des heures d’efforts acharnés, nous avons atteint la lisière du feu. C’est la zone morte entre ville et incendie. Rochers et collines nous entourent, embrasés de violents éclairs livides dans un vacarme d’apocalypse. À quelques centaines de mètres, les flammes se regroupent en une mouvante forteresse. Un instant, elles nous dominent de leurs tours orange. Puis, d’un coup, elles se séparent et enflamment tout l’horizon.
Alors, tous les animaux s’enfuient, parmi les cris des roches qui explosent et la sourde rumeur du bois qui craque. Des myriades de musaraignes, des dizaines de renards et de grands cerfs bruns s’enfuient côte à côte et déboulent vers nous dans le silence. Aucun grognement ou cri, juste la peur muette qui laisse la scène à la grande flamme. Regards sidérés de biches qui cherchent du réconfort dans les yeux des humains. Que faire pour elles, ici ?
Ici, c’est l’entre-deux. Ici, ce n’est ni la vie ni la mort. C’est le royaume des cendres. Les animaux qui déboulent trouvent un sol blanc et mouvant. Les projections de cendres ont laissé un tapis chaud et vénéneux qui leur brûle les pattes.
Je vous invite à participer aux étapes de la naissance de mon livre dont l'objectif de préventes est de 990,00 €. Chaque prévente apportera sa pierre à la réalisation des maquettes, de la correction, de l’impression, de la promotion médias et de la diffusion en librairies. C’est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, auteures, lecteurs, lectrices, amoureux et amoureuses des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité en bénéficiant d'une équipe de professionnels.
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