Par François Monin
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Jeune retraité vivant désormais entre Paris et la Sicile, je me suis inspiré de mon histoire familiale pour écrire Mères mortes. J’avais un besoin de partager mon histoire ne doutant pas qu’elle ait des points communs avec bien d’autres.
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Né en 1961, j’ai depuis toujours eu en moi le désir d’écrire et d’être publié. Mères mortes est mon premier roman et ne sera pas le dernier.

Jacqueline, mère de quatre enfants, non aimante, décide de mourir devant son fils Jacques en 2015. Sa mort est abrupte comme l’a été sa vie. Entre 1945 et 1947, elle avait perdu tragiquement son père et ses trois frères, dont Dominique, son adoré. Elle prénommera sa deuxième fille Dominique en souvenir de lui.
Elle confessera à son fils Jacques un jour que celui-ci la questionnait une fois de plus « Tu sais, après la mort de Papa et de Dominique, j’ai fermé mon cœur. Je me suis dit que, si j’aimais trop, je risquais justement de tuer ceux que j’aime ».
Sa mère, Andrée, Grand-mère, ne s’en remettra jamais. Madeleine, Bonne-Maman, la mère de son mari, Pierre, ne reverra jamais son frère, son adoré aussi, Pierre aussi, abattu en novembre 1918. Un enfant qu’elle prénomme Pierre naît en 1926 et meurt quelques jours plus tard. Elle n’avait pu l’aimer, ni même le voir. Sa petite fille Gilberte meurt d’un cancer à 6 ans. Elle boira beaucoup enfermée dans son château, après avoir quitté la Plaine Monceau après la seconde guerre mondiale, les affaires de son mari Edouard étant moins florissantes, l’argent commençait à manquer. Elle n’aimera plus jamais. Dominique, la seconde fille de Jacqueline et de Pierre, et Marie-Pierre la fille aînée deviennent, avant même de se marier et d’avoir des enfants, des mères mortes comme leur mère et leurs grands-mères, des mères incapables d’aimer et d’accepter d’être aimées.
Des prénoms répétés à l’envie, en souvenir toujours, une famille bourgeoise où la mort est partout, de ces morts tragiques, des suicides, des morts d’enfants, des accidents où les corps sont à jamais perdus, des souffrances tues et transmises, enkystées, où les conventions et la religion ajoutent à ces silences dramatiques et coupables. Jacques, le fils, est différent. Il a besoin de comprendre. Il sent que cela est nécessaire pour que lui brise cette chaîne de tragédies pour, enfin et contrairement à ses sœurs et son frère Philippe-Auguste que tous surnomment Calimero, respirer et vivre. Un long et difficile travail avec un psychanalyste et son choix d’être homosexuel le lui permettront.
C’est la première fois qu’un auteur aborde le sujet des Mères mortes. Celles-ci ne doivent pas continuer à être une fatalité subie et endurée. Via le personnage de Jacques, l’auteur donne des pistes aux lecteurs pour leur échapper. Une longue et difficile réflexion sur soi, pour mieux se connaître et comprendre, en est une. Une envie irrépressible de ne pas subir mais de vivre sa particularité et embrasser le chemin de l’amour en est une autre. L’auteur s’adresse à un public large pour provoquer une prise de conscience salvatrice à ceux, nombreux, qui ont eu à endurer les ravages de Mères mortes.

Grand-mère était morte seule dans son appartement parisien de la rue Théodore de Banville, Paris 17, où elle avait emménagé avec ses enfants dès le début de la guerre, la seconde. Sans nouvelles depuis plus d’une semaine, les parents de Jacques avaient décidé de venir à Paris, de leur province. Il se pouvait bien sûr que Grand-mère fut partie en voyage comme elle en avait l’habitude, sans prévenir personne. Une femme indépendante, cette grand-mère. « J’avais la signature des chéquiers, avant la guerre, c’est te dire ». Mais bon, plus d’une semaine sans répondre au téléphone, c’est beaucoup. Même pour Jacqueline Delacourt qui appelait sa mère chaque semaine, on passait son temps à s’engueuler, une sorte de rituel familial dont personne ne connaissait l’origine et pourtant.

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