Par Ousman MAHAMAT ADJI
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Ingénieur de formation, mais mon regard s’est souvent porté au-delà des chiffres et des systèmes binaires, cherchant à comprendre les rouages invisibles de nos sociétés. J’ai écrit ce livre avec plus de doutes que de certitudes. Ce n’est pas une vérité que je prétends imposer, mais une voix, celle d’un témoin parmi tant d'autres, confronté aux fractures invisibles et pourtant si pesantes de notre société. République des cadres, c’était pour moi une manière d’interroger ce nouveau théâtre du pouvoir : les réseaux sociaux. Là où l’image prime sur les idées, où l’influence supplante l’expérience. Ce livre est né d’un malaise grandissant : celui de voir une société s’abandonner au pouvoir de l’instantané, du vide spectaculaire, et des fidélités tribales numériques. J’ai voulu mettre en mots ce glissement étrange vers une gouvernance gouverné par les algorithmes et les appartenances. C’est une tentative modeste de déchiffrer un monde qui parle fort, clique vite, et réfléchit peu. Ce n’est pas un réquisitoire, mais un regard inquiet, lucide, et parfois ironique sur un monde qui confond visibilité et légitimité.
Je vous propose d'être acteur de la naissance de mon livre en m'aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
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Ousman Mahamat Adji, né à Mao au Tchad, titulaire d’une licence en Télécommunications. Je travaille actuellement comme ingénieur Radio Fréquence chez Moov Africa Tchad. Sans prétention littéraire, j’essaie simplement de poser des questions, de faire entendre une voix parmi d’autres, avec sincérité et curiosité.
Ce livre explore une république fictive où l’ombre de la corruption flotte comme une brume persistante, où la politique se joue non plus dans les couloirs du pouvoir, mais dans les algorithmes et les messageries instantanées, l’ère numérique devient le théâtre d’une nouvelle forme de gouvernance. Ce livre se veut une satire acerbe de cette époque, où les dirigeants jonglent entre l’obsession de TikTok et la gestion de groupes WhatsApp claniques, ces espaces virtuels devenus les véritables centres de pouvoir.
L’auteur du livre Ousman Mahamat Adji, porte son regard sur les citoyens, plus connectés que jamais, se perdent dans les méandres d'une réalité virtuelle parallèle, où les likes et les vues déterminent l’importance de chacun. Dans un pays où les voix des leaders politiques se font entendre uniquement à travers des vidéos de 15 secondes, le pouvoir semble être aussi volatil qu’un simple swipe vers le bas. Le pays, autrefois fier de ses traditions et de son histoire, se trouve désormais dirigé par une obsession collective : TikTok/Facebook.
Entre la dérision d’une jeunesse accrochée à ses écrans et la gravité d’un système politique en déclin, ce livre explore l’absurdité d’une époque où la frontière entre le virtuel et le réel est de plus en plus floue. Ici, la satire politique se mêle à la critique sociale, et l’humour noir se fait l’écho des failles d’un pays pris en étau entre la modernité débridée et la tradition dévoyée.
Les dirigeants sont obsédés par leur image en ligne. Colonel Mokey se filme en train de marcher avec arrogance, M’bodou fait des TikToks humoristiques, et chaque ministre gère son propre fan-club numérique. Leur objectif : accumuler des vues et des abonnés, au détriment du pays.
Dans cette république en perpétuelle crise, les dirigeants ont trouvé une nouvelle façon de maintenir leur emprise : devenir des stars des réseaux sociaux. Leurs priorités ne sont plus la gestion des affaires publiques, mais l’accumulation de vues, de likes et d’abonnés. Une transformation radicale où la politique cède la place à une course effrénée à la popularité numérique.
Colonel Mokey, le président arrogant, est le parfait exemple de cette mutation. Il est connu pour ses vidéos virales où ils marchent avec des habits à haute couture.
D’abord quelques jeunes influencés par la facilité, finissent par se joindre à lui dans des démarches maladroites ou ils sont même appelés Mokey junior. La musique est soigneusement choisie : des tubes populaires qui résonnent avec la jeunesse. Chaque vidéo est accompagnée de hashtags accrocheurs comme #CoutureAvecLePrésident ou #LeaderArmée.
Mais derrière ces scènes joyeuses se cache une réalité amère : les écoles manquent de matériel de base, et les enseignants ne sont pas bien payés. Ces TikToks narquoises où imitent des scènes de la vie quotidienne attirent des milliers de vues. Dans l’une de ses vidéos les plus populaires, il joue le rôle d’un vendeur de carburant qui tente de convaincre le peuple de payer plus cher l’essence juste pour un temps. La chute humoristique fait rire, mais les marchés qu’elle dépeint sont les mêmes où les prix flambent, aggravant la misère des citoyens. Pourtant, ces réalités économiques passent au second plan face à la popularité croissante de président en ligne.
Chaque ministre a son propre fan-club numérique, géré par des équipes d’experts en communication. Les comptes Facebook, Twitter et Tiktok sont inondés de photos et de vidéos soigneusement retouchées. Les stratégies sont claires : humaniser les dirigeants, créer une illusion de proximité et d’empathie avec le peuple. On les voit à la reciter des versets, ou dans des prosternations stériles. Ces contenus suscitent des commentaires enthousiastes : “Enfin un leader croyant et proche du peuple !” ou encore “Ils comprennent nos réalités”. Mais à quel prix ?
Les conséquences de cette obsession pour l’image sont profondes. Les réunions ministérielles se transforment en brainstormings pour créer le prochain contenu viral. Les décisions stratégiques sont reportées ou ignorées. Pendant ce temps, les infrastructures du pays s’effondrent, les hôpitaux manquent de médicaments, et l’insécurité grandit. Mais pour les dirigeants, tout cela semble secondaire face à l’urgence d’augmenter leur nombre d’abonnés.
La population, quant à elle, est divisée. Certains applaudissent cette évolution, y voyant une preuve de modernité et d’adaptation à l’ère numérique. D’autres, plus critiques, dénoncent une distraction cynique qui masque l’incapacité des dirigeants à résoudre les vrais problèmes. “Ils dansent pendant que nous souffrons”, murmure une marchande dans un marché bondé.
Dans ce climat où la politique devient spectacle, une question se pose : jusqu’où iront-ils pour rester pertinents en ligne ? Les réseaux sociaux, censés rapprocher les gouvernants et les gouvernés, sont-ils devenus un outil de manipulation de masse ?
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