Worldandlands Tome 2 Les Nouvelles Terres

J’aime écrire du plus loin que je me souvienne de moi.  

Je suis très amoureuse de mon mari qui est mon premier lecteur et j’aime beaucoup ma famille et mes ami(e)s. 

Je suis heureuse dans mon travail avec les chèvres. 

Le thème de mon livre porte sur l’aventure de mes personnages à travers mon monde inventé, c’est un style fantastique/fantaisie, c’est un deuxième tome, c’est l’histoire des enfants de Mikuru de sa descendance, la dernière Mitsu, le second Mohan et l’aîné Mokan, Mikuru découvre un livre qui lui est remis par un vieil homme en terres asiatiques, ce livre s’intitule « La Porte » et son illustration est celle d’un arbre un néflier, les enfants de Mikuru à l’âge de majorité de Mokan décident de percer le mystère de ce livre dont la rumeur commençant toujours par « Au-delà de l’horizon » est censée mener aux Nouvelles Terres, pour cela il faudra pour les enfants de Mikuru réunir les cinq portes donc cinq livres écrits par des auteurs différents de chaque terres avec des illustrations différentes mais chaque fois d’arbres ; et Mohan le second fils de Mikuru ne serait-il pas un enfant élu afin de retrouver un frêne le plus grand et le plus majestueux du monde ? 

Son originalité se trouve qu’il est tant écrit pour les petits que pour les grands, 

Ce projet pourrait être soutenu car il sort un peu du réel et fait voyager dans un univers imaginaire, 

C’est une lecture adolescente, pré-ado, adultes, 

Ses inspirations sont des lectures personnelles qui viennent dans le récit en connivence avec mon imaginaire, des inspirations de films et de ma propre vie, ses ambitions sont que c’est une trilogie, j’ai pensé ce livre en 2014 et je l’ai écrit en 2018. 

Extrait du livre :

Il était une fois…  

Une rumeur, une rumeur qui courrait, qui se déversait de bouches à oreilles, qui se répendait et s’ébruitait depuis des décennies jusqu’à ce jour précis, cet ultime jour qui marque le début de cette nouvelle histoire. 

Mikuru l’avait parfois entendu entre des couloirs, derrière des battants de portes, dans la rue ou sur la terrasse d’un café, dans la cour de l’école lorsqu’il était petit et ce jour précisément celui-ci, ce matin du 21 mars de l’ère du possible, il l’entendit à nouveau, il l’entendit encore. 

C’était une rumeur qui commençait inéluctablement et toujours par cette même phrase en prémices : « Au-delà de l’horizon » 

Alors lorsque Mikuru à l’angle de la rue entendit ce début de phrase, il arrêta sa marche et tendit l’oreille.